Il nous faut arracher LA JOIE aux jours qui filent
Agnès Larroque - Compagnie du Détour
Bérénice, Ophélie et Marie sont sœurs et respectivement, infirmière, professeure et comédienne. Les sacrifiées du service public.
À la suite du décès brutal de leur père, elles se retrouvent à devoir prendre en charge leur mère, Denise, atteinte de la maladie d’Alzheimer. La question de devoir la placer en maison de retraite spécialisée va se poser assez vite mais encore faut-il qu’elles se mettent d’accord…
Il nous faut arracher LA JOIE aux jours qui filent est une pièce sur la perte de la reconnaissance, double ici : celle d’une mère qui ne reconnaît plus ses filles et de l’État qui ne reconnaît plus le soin, l’éducation et la culture. Des sujets durs sont abordés avec un humour burlesque et grinçant, qui rappelle que le rire permet de résister à l’âpreté de la vie.
Après Les Femmes Savantes, le Vellein est heureux d’accueillir la nouvelle création de la Compagnie de Détour.
Café philo
19h00
L’humour, force de vie ?
Animé par l’association Philo et Partage,
avec la participation d’Agnès Larroque, metteure en scène de la Compagnie du Détour
Texte et mise en scène Agnès Larroque / Mise en scène Laure Seguette / Avec Elisabeth Barbazin, Adeline Benamara, Irène Chauve, Romain Pichard, Emmanuelle Vein / Création Lumières Julien Barbazin / Scénographie Caroline Oriot / Collaboration chorégraphique Thierry Thieu Niang / Coiffures, perruques Pascal Jehan / Régie lumières Matthieu Lacroix / Régie son Alban Guillemot / Chargée de production Julie Le Mer / Coproductions Compagnie du Détour, Le Vellein, scènes de la CAPI (38), Scène nationale de Mâcon (71), Théâtre de Beaune (21), Théâtre des Quinconces / Vals les Bains (07) / Avec l’aide de la Région Bourgogne Franche-Comté, du département de Saône & Loire / Avec le soutien de LARC, Scène nationale du Creusot, de l’ARTDAM / Dijon, de l’ECLA de Saint Vallier, de l’Espace des arts / Châlon sur Saône
© Cie du Détour
© Stef Bloch